La nuit n'allait pas tarder à tomber, il fallait qu'Altaïr se trouve un endroit où dormir. De plus il pleuvait et sa cape en soie noire jais commençait à être vraiment très mouiller et Altaïr était trempée jusqu'au os. En plus de ça, elle était épuisée et avait besoin de repos ainsi que sa jument, Anthéa. Mais avec toutes ses raisons, il fallait aussi dire qu'elle s'était perdue. En allant vers Tripolis, elle avait du prendre le mauvais chemin et c'était retrouvée en face d'un palais, surement celui du roi cette ville qu'elle ne connaissait pas. Elle croisa une personne brune aux yeux bruns et s'arrêta devant elle, laissant les rênes longues à sa jument.

« Ou suis-je ? Demanda Altaïr.
- A Sparte étrangère, tu es à Sparte.»

Ah bah, Altaïr avait fait plus de chemin qu'elle n'avait prévu. Pour aller jusqu'à Tripolis, il fallait moins de temps que pour Sparte. Elle soupira et regarda la jeune femme.

« C'est le château du roi ? Questionna Altaïr en pointant le château.
- Oui, du roi Léonidas Ier. »

Altaïr hocha la tête et laissa sa jument marcher un peu sur la route, elle trouva une écurie et elle plaça Anthéa dans un box pour la nuit, ou même pour la nuit suivante si le roi l'acceptait deux jours, ce qui l'arrangerait puisque les longs voyages qu’elle faisait pour retrouver Xéna étaient très épuisant. Elle s'occupa de sa jument et sortit de l'écurie avant d'avancer vers la porte du grand château. Elle frappa sur poing plusieurs fois sur la grande porte avant qu'une servante ouvre la porte et lui lance un regard inquiet. Altaïr sourit.

« Bonjour, je souhaiterais parler au roi, c'est urgent. »

Elle enleva la capuche de sa cape noire jais et la servante hoqueta, surprise. Altaïr était connue par son père qui était un fabriquant d'armes et beaucoup de rois allaient le voir pour les armes... Avant sa mort. La jeune servante laissa Altaïr entrer et la laissa dans le hall du château pour parler au roi. Altaïr patienta quelques minutes avant de voir le roi arriver, elle s'inclina quand il se plaça devant elle et n'osa pas le regarder dans les yeux.

Assis derrière sa table entourer de ses conseillers, le grand roi de Sparte buvait tranquillement du vin en discutant de tout et de rien qui pouvait concerner Sparte. Ses conseillers lui avaient demander de lui donner un plans de ce qu'il comptait faire pour la prochaine année, afin de rassurer le peuple, mais Léonidas ne leur dit qu'une seule chose, si Sparte avait déjà survécu à grand nombre de crise et d'attaque elle pourrait donc encore survivre une année ou deux. Le conseil fut forcer d'admettre que le roi avait raison sur son point, car Sparte était une ville si forte sur la stratégie militaire qu'on ne pouvait pas lui retirer ce point de vue. Il ricana avec ses conseiller, levant sa coupe, prêt à prendre la parole, lorsqu'un des gardes se présenta à l'assemblé et Léonidas lui signala de prendre parole. On lui avisa la venue d'une étrangère aux portes de sa citée. Lentement il se leva en buvant une gorgée et marcha lentement en directions des portes de Sparte. Il put apercevoir une parfaite inconnue qui par marque de respect se prosterna. Le roi apprécia son geste et ne prit pas longtemps avant de prendre parole.

-Redresse doit donc, tu as mon salut étrangère, ainsi je pourrai voir ton visage. On m'a dit que tu était fille du fabricant d'arme, tu veux me parler, je veux donc savoir ton nom. C'est un échange des plus juste si je ne m'abuse.

Il croisa lentement les bras en s'avançant lentement. Même si il s'agissait de quelqu'un qui venait attaquer, sans qu'elle le sache, au-dessus des mur de la cité cacher un peu partout, des soldats étaient prêt à intervenir au moindre faux pas, alors Léonidas n'avait strictement rien à faire. Soudent un des membres conseillers arriva vers Léonidas choquer et mit sa mains sur son épaule. Ce conseiller venait droit de Perse et n'était que provisoirement à Sparte et il dit au roi.

-Oh mon bon roi, je ne crois pas qu'il sera nécessaire de laisser cette vulgaire femme parler, leur paroles sont si inutile... Vous n'allez quand même pas lui demander de s'exprimer!

Le roi leva la mains en lui signalant de ce taire et tourna la tête vers sa directions en prenant un air des plus neutre, avant de complètement se retourner et de fixer le membre du conseil dans les yeux. Son regard était si menaçant, que Léonidas sentait la terreur que dégageait le membre du conseil, en lui. Il était tellement trouillard que même sa respiration se coupait et Léonidas pouvait la ressentir. Il le regardait avec un regard si noir.

-Écoute moi bien sage conseiller Perse, ici à Sparte, peu importe d'où viennent les femmes elles auront toujours droit de parole et ce n'est pas prêt de changer! À moins bien sûr que vous ayez peur d'entendre ce qu'une femme comme elle aurait à nous dire... Avoir peur d'une femme pour un conseiller serait un peu pathétique non? Surtout que vous venez droit de Perse pour les symbolisez ici! Alors je vous donnerai ordre une seule fois! Retournez à la salle du conseil si vous ne pouvez entendre la voix de cette femme! Mais ne remettez JAMAIS mes ordres en jeux... Car la prochaine fois, conseiller ou non, ma lame en vous sera mon dernier argument... Maintenant, va!

Il pointa la salle des conseillers en le fixant dans les yeux, le conseiller grogna un coup choquée de ses paroles et fit demi-tour se dirigeant de nouveau vers la salle réserver aux conseils. Puis lentement, Léonidas se tourna vers la femme qui venait d'arriver, prenant un air neutre en croisant les bras.

-Je te pries de pardonnez ce Perse, il n'est pas encore habituer aux coutumes de Spartes! Je te pries, dit moi ce que je puis faire pour toi! Parle je t'écoute!

Altaïr sentit la respiration du roi au dessus d'elle et inspira profondément. Elle sourit intérieurement et souffla.

« Redresse doit donc, tu as mon salut étrangère, ainsi je pourrai voir ton visage. On m'a dit que tu étais fille du fabricant d'arme, tu veux me parler, je veux donc savoir ton nom. C'est un échange des plus justes si je ne m'abuse.
- Merci mon roi. Oui je suis la fille du fabriquant d'arme, nommé Auxance et mon brave père m'a appelé Altaïr, mon roi. »

Elle se releva et écouta la conversation entre le roi et son conseillé tout en passant une main dans ses cheveux d'or. Altaïr possédait les longs cheveux doré de sa mère, mais en aussi beau, aussi souple et même s’ils n'étaient pas aussi bien entretenus, elle avait de magnifiques cheveux. Mais sur son visage, ce qui faisait sa beauté, ce n'était pas ses cheveux : c'était ses yeux, bleu presque blanc parfois bleu foncé, bleu marine ou encore gris que ce soit foncé ou clair. Lorsque l'échange fut finit, elle osa faire un léger sourire hypnotisant au roi et souffla de tranquillité.

« Je te prie de pardonnez ce Perse, il n'est pas encore habituer aux coutumes de Spartes ! Je te prie, dit moi ce que je puis faire pour toi! Parle je t'écoute!
- Je le pardonne entièrement, c'est compréhensible après tout. Dit-elle en souriant. Voilà, je vais vous dire, mon roi. J'étais aujourd'hui en chemin pour Tripolis, malheureusement j'ai du me tromper de chemin et me perdre. Depuis quelques temps, il pleut énormément et ma jument et moi, nous sommes trempées. Je voudrais votre permission de résider dans votre charmante ville pour quelques temps puisque dans certaines villes il faut l'accord des rois pour passer dans une ville. Je vous demande donc cette faveur s'il vous plait mon roi. »

Elle sourit et laissa ses cheveux trempé dégouliner sur sa cape noire jais, également trempée comme tout ses autres vêtements à part son corsait en cuire noir. Elle sourit et fixa le roi dans les yeux, n'ayant plus très peur de lui. Elle était plutôt hypnotisée par la beauté de ce roi.

Ce visage si radieux et cette élégance, la fille du forgeron d'arme était une douce au coeur pur et son esprit pouvait être ressentit par-delà un simple regard! Lentement il marcha autour de la jeune femme observant chaque détails à ses vêtements! Elle ne semblait porter aucune arme sur elle, autant arme cacher que arme visible, car Léonidas avait un sens de l'observation et elle s'était arrêter pour demander repos dans son empire. Lentement il s'arrêta devant elle fixant son regard pour quelques instants bien dans les yeux, réfléchissant un moment. Il pourrait l'héberger, mais où donc, car dans sa cité, les gens et en particulier les hommes, étaient fort sur les agression au sommeil et surtout si elle venait d'ailleurs. Après tout, ses hommes n'avaient pas sortit de Sparte depuis un moment déjà et ils pourraient avoir des envies sur la femme. Évidemment, le Roi garda cette pensée pour lui, mais mentionna doucement en observant la jeune femme.

-Spartes sera fière de t'accueillir pour la nuit et même pour un moment si tu en as besoin! Prend le temps que tu veux ici, fais toi à l'aise, mais j'insiste sur un seul point, Altaïr, fille de Auxance, tu devras dormir dans la même chambre que moi et te promener en permanence avec moi dans mon empire. Ici les hommes ont du mal à accueillir les nouveaux visages et encore si c'est une femme on ajoute une règle au jeux. C'est donc pourquoi je vais insister à ce que tu sois avec moi durant ton séjour. Pour ce qui est de ta jument, soit rassurer, mes hommes d'écurie se chargeront d'elle et elle sera laver, nourrie et bien surveiller, afin qu'elle ne manque de rien.

En signe de parole, le Roi posa sa mains sur son coeur en baissant légèrement la tête. En Sparte, lorsque quelqu'un de la royauté ou de haut gradé au seins de l'armer identifiais ce symbole, il voulait dire parole d'honneur! Et une parole d'honneur pour Léonidas était chose sacrée à laquelle il tenait énormément. Il appela donc deux de ses hommes d'écurie et leur mentionna qu'une jument avait été nouvellement ajouter, il désirait donc qu'elle ne manque de rien et qu'elle trouve refuge au chaud tout comme les chevaux impérial du Roi. Bien que Léonidas ne voyageait que rarement en cheval.

-Altaïr si vous voulez bien, nous allons visiter la ville, afin que tu puisses voir l'intérieur de mon peuple. Ne t'en fais pas, je ne mord pas les invité, ou du moins selon mon conseiller, je ne mord que très peu!

Léonidas ricana doucement en offrant sa mains à la jeune femme afin de lui montrer l'empire. Une fois qu'il sentit sa mains, lentement il commença à se promener avec elle à vitesse lente afin qu'elle puisses observer le village. Les Spartiates étaient des gens souriant, quelques peu bagarreur dans quelques coin, mais bagarreur en général pour le plaisir et pas un seul Spartiate ne manqua de saluer son roi et son invité. Un sourire se dessina sur les lèvres du roi, heureux de voir que sa ville était autant active comparer à ses villes ennemies qui commençait tranquillement à se développer.

-Ici nous sommes en pleins coeur de l'empire, là où les citoyens de Spartes peuvent librement faire ce que bon leur désire... Évidemment, les hommes s'entraînent avec leur fils, pendant que les femmes font ce qu'elles savent de mieux faire, lire, écrire et chanter, sans oublier cuisiner... Vous désirez voir un peu plus de mon espace personnel peut-être?

Le roi Léonidas tourna autour d’Altaïr, celle-ci avait laissée ses armes dans l’écurie, sous l’harnachement de sa bien aimée jument. Elle savait qu’il serait plus dur de convaincre un roi de séjourner dans sa ville avec une épée et deux dragues sous la main. Elle le regarda doucement et sourit, avec le plus beau sourire qu’elle pouvait donner.

« Merci. Chuchota-elle doucement. Pour ce qui est de me promener avec vous et dormir dans la même chambre que vous ne serait qu’un privilège. Aucun roi n’aurait permit ça à un invité mais après tout si les hommes de votre ville sont comme vous le dîtes, je préfère rester à vos côté. Pour ma jument, je vous fais entièrement confiance à vous et vos hommes d’écuries. Ils n’auront pas de problème avec Anthéa, c’est une jeune jument douce et affectueuse qui ne demande que de l’amour et de la douceur. »

Altaïr sourit, elle connaissait sa jument par cœur, c’est elle qui l’avait débourrée dès son plus jeune âge et c’est elle qui l’avait montée la première. Les deux êtres vivantes étaient donc très proches l’une de l’autre. Le roi posa une main sur son cœur et inclina doucement la tête, en signe d’honneur surement, certain roi le faisaient très souvent. Comme le roi d’Athènes par exemple, Altaïr le connaissait bien puisque son père lui avait souvent fabriqué des armes pour ses soldats comme pour lui-même. Quant à son père, il n’était pas qu’en relation avec le roi d’Athènes, beaucoup d’autres lui demandaient ses services puisqu’il fabriquait, avant sa mort, des armes affreusement redoutables. Lorsque le roi lui annonça qu’il allait lui faire visiter le village, elle accepta et le suivit, lui donnant sa main en marchant près de lui d’un pas gracieux. Les personnes sorties dehors lui lançaient des regards souriant, saluant le roi et la jeune femme. Elle lança un rapide regard au roi et sourit.

« Votre ville est très agréable ainsi que vos habitants mon roi, mais cela ne me déplairait pas de voir votre espace personnel qui doit être tout aussi chaleureux que votre ville et que vos habitants. De plus, je suis épuisée par mon long voyage et ci cela ne vous déplait pas, je souhaiterais me reposer quelques minutes. »

Altaïr se laissa doucement entrainer pas le roi, lui souriant. Il était vraiment galant et séduisant.

Le roi observa la jeune femme dans les yeux et lorsqu'elle mentionna vouloir voir ses espaces personnel, il prit sa mains doucement et prit direction vers ses appartements en prenant une marche lente pour ne pas donner d'allures presser, après tout il n'avait pas vraiment idées qu'elle avait quelque chose en tête à part peut-être se reposer. Marchant lentement, il emprunta un des couloirs cacher du palais pour aller plus rapidement vers ses appartements personnel. Une fois arriver, il ordonna à deux hommes de son armée de s'assurer que la chambre ne soit déranger par absolument personne. Il relâcha doucement la mains de l'inconnue pour lui présenter le lit royal qui avait une taille majestueusement grande. Facilement, dans ce lit pouvait être coucher six personnes, sans même se toucher une seule fois dans la nuit.

-Comme demander, Altaïr, voici mes appartement personnel, nous sommes seul ici et personne n'entend, ne vois ou même ne peut savoir ce qui se passe ici, c'est moi qui l'a voulut ainsi... Enfin, vous pourrez vous reposez à votre aise dans ce lit et dormir tant que vous voudrez. Je demanderai au matins à ce que vous ayez vêtements pour pouvoir être bien vêtue pour continuer votre route, lorsque bon vous sembleras de repartir. Mais vous pourrez restez tant que vous voudrez ici!

Il disait vrais, puisque pour lui, il partageais désormais tant qu'elle serait ici ses appartements personnel avec elle. Lentement le Roi prit place dans son lit en s'allongeant sur le dos, observant la femme dans les yeux. Elle était tant ravissante et elle ne manquait pas de charme. Sans doute elle voyageait pour aller retrouver son amoureux ou quelque chose du genre. Le Roi posa sa mains sur son front en soupirant.

-Dîtes moi, j'ai remarquer que vous voyager seule, vous êtes surement en route pour aller retrouver votre noble chevalier ou je devrais dire amoureux, puisque ce n'es pas forcément un chevalier. Il doit surement être inquiet de ne pas avoir eut de nouvelle de vous... Si vous voulez, nos aigle de la cité pourraient envoyer un de vos message vers lui afin de le rassurer, car on ne voudrait pas qu'il croit que Sparte vous à enlever... Ce serait un terrible malentendus dont je serrait gravement vexer!

Le roi lui fit un sourire, il était étonner d'avoir chance de discuter avec une femme aussi intelligente qu'elle, car en général, les femmes voulaient une seule chose, l'or qu'il avait et le voler... Mais elle ne lui avait pas parler d'or encore, c'était un bon signe jusqu'à présent.