En construction (je devrais pouvoir poster la fiche finie d'ici à dimanche)
RPG :1. Information de base sur le personnage
Nom : Viastrofyria
Prénom : aucun
Age : Très ancienne
Sexe : féminin
Groupe auquel vous souhaitez appartenir : Autres Monstres
Dons : (facultatif)Viastrofyria est un monstre des temps anciens et en tant que tel, elle jouit de certaines capacités.
Succube : Viastrofyria est l'ancêtre des succubes "modernes", ces créatures nocturnes qui volent l'essence vitale des personnes qu'elles séduisent. Quoiqu'elle puisse se nourrir de viande, Viastrofyria peut absorber la vitalité d'une victime en l'embrassant (la manière douce) ou en l'empoignant (la manière forte), voir en la mordant (si elle veut tuer). Cette absorption prend du temps et peut durer de quelques secondes pour une personne faible à plusieurs minutes pour une personne exceptionnelle comme un héros. Un dieu dispose de trop d'énergie pour pouvoir être tué de la sorte (ça et le fait qu'ils sont immortels). Les forces d'une victime reviennent en quelques minutes (ou quelques secondes pour un dieu) si le contact est rompu.
Monstre ancien : Viastrofyria ne se montre que rarement sous son vrai jour et apparaît le plus clair du temps sous les traits d'une belle femme or il n'en est rien. Sous cette illusion se cache une créature peu engageante (voir description physique) qui comme tout monstre qui se respecte, est vraiment difficile à tuer. Elle n'est pas invulnérable mais la douleur et les blessures ne la stoppent pas plus qu'elle ne la gênent : il faut vraiment insister (plusieurs coups mortels) pour s'en débarrasser.
Si elle est détruite, Viastrofyria retournera directement dans le Tartare d'où elle devra attendre que quelqu'un ne la fasse sortir... ce qui est peu probable.
Force surhumaine : Viastrofyria est dotée d'une force physique effrayante qu'il est difficile d'appréhender car elle varie en fonction des êtres qu'elle côtoie. Sa puissance musculaire dépasse de loin celle de simples mortels ainsi que celle des créatures magiques dont la force n'est pas le premier attribut mais elle dépend de la puissance qu'elle peut voler à ses proies.
2. Informations sur le physique et sur la psychologie du personnagePhysique :(quatre lignes minimum)Viastorfyria, quand elle se montre sous forme humaine, apparaît comme une grande femme aux cheveux clairs et plutôt belle si elle fait des efforts pour le paraître. Si elle vient à vouloir être moins attirante, elle laissera percevoir sa sinistre aura et même si cela ne devient pas visible à l'oeil nu elle aura l'air alors bien plus imposante, comme si quelque chose de plus grand et de plus massif se cachait en elle et c'est exactement le cas.
Si Viastrofyria veut faire peur ou si elle combat de manière intense, elle déformera son apparence humaine. Sa peau virera au mauve tandis que ses cheveux deviendront poussiéreux et grisâtres. Ses bras s'allongeront et ses mains deviendront des serres aux griffes noires. Ses yeux passeront au jaunes et se fendront d'une pupille reptilienne. La bouche se transformera quant à elle en une gueule bardée de crocs jaunis et massifs.
Sous sa véritable apparence, Viastrofyria est une ombre palpable pourvue de longs membres supérieurs terminés par d'imposantes serres qui peuvent faire le tour de taille d'un humain adulte et dont la gueule immense dépasse la largeur d'épaule du plus large des combattants. Cette forme est à mi chemin entre un spectre et de l'ectoplasme mais elle n'est que rarement adoptée car elle est très vulnérable à la lumière.
Qualités : (trois lignes minimum)La première qualité de Viastrofyria est indéniablement sa volonté. C'est grâce à elle qu'un tel monstre peut évoluer parmi des humains sans les mettre en danger.
L'expérience est la deuxième qualité de Viastrofyria. En effet, une créature de plusieurs millénaires qui a été "tuée" maintes et maintes fois a tout de même appris quelques petits tours au cours de sa longue existence. Elle est un puits de savoir divers et (a)variés qui se sert de ce qu'elle sait au mieux de ses capacités, ce qui la rend particulièrement dangereuse si on lui laisse le temps de réfléchir à une stratégie.
Défauts : (trois lignes minimum)
Viastrofyria n'est pas tout à fait le monstre froid et dangereux qu'elle paraît être mais ça s'en rapproche. Sa faim l'oblige à de constants efforts de volonté pour ne pas passer à l'attaque dès qu'elle rencontre un être vivant intelligent (humains, dieux, démons etc..). Cette lutte interne la distrait parfois lors de conversations et il lui arrive donc de paraître un peu étourdie.
Malgré cet aspect peu reluisant de sa personnalité, Viastrofyria a une nette tendance à épargner les créatures qui lui semblent "belles" et à s'y intéresser plus qu'elle ne le devrait, au risque de s'exposer à toutes sortes de problèmes (comme d'être identifié pour ce qu'elle est vraiment).
Il faut aussi ajouter qu'elle adore jouer avec la nourriture et que la chasse est son premier loisir, même si cela prend maintenant plus souvent la forme d'un jeu de stratégie que d'un affrontement physique. Bien qu'elle adore se battre, Viastrofyria a bien compris que les monstres, quand ils sont identifiés, attirent toutes sortes de nuisances (héros, dieux etc..).
Au delà de ça, étant habituée à être méprisée et/ou détestée par ses pairs, elle sera "touchée" par toute marque de respect envers sa personne et pourra même aller jusqu'à prendre des risques pour quelqu'un qui lui aura montré une sincère considération.
Quant à sa nature profonde, Viastrofyria est vulnérable aux lumière trop vives, lesquelles peuvent forcer à se montrer sous son vrai jour et à reculer.
En temps que monstre ancien, elle ne peut renier une promesse à moins d'avoir été trahie par la personne à qui elle l'a faite.
Caractère : (quatre lignes minimum)Viastrofyria passe le plus clair de son temps à lutter contre sa nature profonde de monstre ancien. Elle vient d'une époque où la sociabilité était totalement superflue mais le fait d'avoir survécu si longtemps la pousse à faire preuve de retenue. Passé ses instincts inhumains, elle fait preuve d'une curiosité et d'une intelligence surprenante pour un monstre. Elle peut même aller jusqu'à être amicale et rassurante si le besoin s'en fait sentir...
Viastrofyria est avant tout une créature de l'ombre et en tant que telle elle préfère observer et comprendre avant d'agir pour pouvoir surprendre ses adversaires.
3. Informations historiques du personnageHistoire : (Minimum 20 lignes)Comme bien d'autres monstres des premiers âges, Viastrofyria est l'une des créatures a avoir vu le jour avant que le sol de la Terre ne soit réservé aux humains. En ses temps reculés, seuls les Titans régnaient sur le monde et Cronos était leur roi. Viastrofyria n'avait alors pour seule fonction que d'être l'une des multiples créatures à peupler le Tartare ; c'était une forme spectrale, gloutonne et indéfinie. Chaque instant de son existence était voué à une seule et unique chose : trouver des proies.
Quiconque déplaisait à Cronos était envoyé dans cet enfer pour y être la victime des monstres qu'il renfermait et Viastrofyria s’acquitta de cette tache à merveille durant des siècles.
La surface ; la seule chose qui occupait l'esprit de cette créature entre deux combats pour un repas. Viastrofyria ne savait pas comment mais elle espérait pouvoir y aller un jour. Elle avait pu se rendre compte que ses victimes avaient un langage et qu'ils avaient tous ce quelque chose dans le regard : l'espoir de remonter un jour. Parfois, quand les Titans se débarrassaient d'un malheureux qui leur avait déplu, une faille s'ouvrait et la lumière du ciel passait. Le prédateur qu'était Viastrofyria avait assisté à ce phénomène et les effluves emplies de vie de la surface l'avaient enivrée à tel point qu'elle fit d'incroyables efforts pour freiner son instinct afin de s'intéresser à ce qu'étaient ces gens qui échouaient dans le Tartare.
Apprendre leur langage ne fut pas une tache aisée mais ce n'était rien en comparaison de réussir à protéger ses "professeurs" des autres monstres qui hantaient les entrailles de la Terre. La plupart du temps, elle échouait mais elle eut quelques succès grâce à ses pouvoirs. Viastrofyria pouvait prendre l'apparence de ces proies et ainsi les attirer à elle. D'ordinaire elle se servait juste de ce don pour les piéger et à force d'en user cela commença à la définir et elle devint ce qu'elle est encore à ce jour.
Cette méthode de prédation fit d'elle le probable ancêtre des succubes modernes et la poussa à devenir plus... sociable. Cela lui permit d'apprendre que ses proies les plus récentes étaient des humains et qu'ils vivaient dans la crainte perpétuelle (et justifiée) de la colère des Titans. Cronos avait déjà envoyé ses frères aînés, les Hécatonchires et les Cyclopes, dans le Tartare pour autant elle ignorait s'ils étaient semblables. Elle apprit aussi que Cronos mangeait ses enfants pour échapper à la malédiction qu'Ouranos, son père, lui avait lancé : l'un des enfants du Roi des Titans tuerait un jour ce dernier.
Dès lors, la créature infernale eut une obsession ; celle de pouvoir elle aussi manger un être divin. Evidemment il faudrait commencer par sortir du Tartare, ce qui l'obsédait aussi et ce depuis bien plus longtemps. A force d'épargner ses proies, Viastrofyria finit par maîtriser leur langue et à comprendre leur fonctionnement, du moins le pensa-t-elle. Ils étaient profondément attachés à leur vie et étaient près à tout pour ne pas la perdre ; une conception qui coulait de source pour eux mais qui était totalement nouvelle pour un monstre condamné à hanter pour l'éternité le Tartare et donc à ne pas pouvoir mourir. Viastrofyria pouvait être détruite et cela lui était d'ailleurs déjà arrivé mais elle finissait toujours par ressortir d'un coin obscur ; ces "morts" n'étaient que quelques souffrances de plus dans un univers fait de souffrances. Car c'était cela l'existence d'un monstre infernal : une souffrance dont le seul remède était de dévorer d'autres créatures.
Malgré quelques tentatives infructueuses pour sortir par l'une des failles ouvertes lors de l'envois d'humains dans le Tartare, Viastrofyria ne se lassait jamais et elle continuait à rayer de ses griffes les parois rocheuses qui menaient brièvement à la surface. Chaque fois elles se refermaient avant que le monstre ne fut sorti mais rien n'y faisait : elle essayait et essayait encore.
L'une des proies que le monstre épargna sortit un jour du lot. C'était un homme qui lui dit s'appeler Methos. Il lui raconta une histoire qui la fascina : le fils du tout puissant Cronos, Zeus, avait échappé à l'appétit de son père et il était caché sur l'île dont Méthos était originaire. Sa mère, Rhéa, l'avait sauvé en le remplaçant par une pierre caché dans des langes et elle avait confié son fils aux Curètes, la communauté dont cet humain était membre. Afin de protéger l'enfant divin, les humains avaient suspendu son berceau à un arbre pour qui ni la Gaïa (la Terre) ni Ouranos (le ciel) ne puisse trahir sa présence.
Viastrofyria vit là l'occasion de gagner les faveurs de Cronos et de sortir enfin du Tartare. Consciente que le Roi des Titans n'aurait aucune raison de la sortir de là si elle lui disait où trouver l'enfant, elle préféra faire savoir qu'elle avait sous la main un humain qui portait son odeur et qu'elle pourrait le retrouver, où qu'il se cache.
Ce plan n'était pas très élaboré mais il était déjà brillant pour un monstre tout juste bon à dévorer les surplus de malheureux envoyés en Enfer. Comme de bien entendu, en l'absence d'une quelconque forme de société dans le Tartare, faire passer un message ou même courir un bruit se révéla tout simplement impossible : les autres monstres ne parlaient pas plus qu'elle ne le faisait elle même à ses débuts. Il y avait pourtant une créature capable de parler dans le Tartare ; celle qui en avait la garde : Campé.
Convaincre cette créature fut beaucoup moins dur que Viastrofyria ne l'aurait cru. Campé fut tellement surprise qu'un monstre infernal puisse parler qu'elle écouta avec la plus grande attention. Evidemment, elle demanda à savoir où était l'enfant et la version de Viastrofyria fit son effet : Campé autorisa le monstre infernal à arpenter la surface à la recherche du jeune Zeus.
Cette sortie inespérée du Tartare fut probablement l'un des tous premiers moments de bonheur de Viastrofyria qui découvrit avec enthousiasme ce sentiment étrange. Comme l'on put s'en douter, elle traîna quelque peu des pattes pour accomplir sa mission. Campé devant garder l'entrée du Tartare, elle ne put l'accompagner et ne désira pas prévenir Cronos car en cas d'échec, les conséquences seraient terribles. Sans doute avait-elle pensé qu'un monstre, même un qui soit capable de parler, ne serait pas assez subtil pour mentir... et puis elle l'avait laissé partir contre la promesse de ramener le fils du Roi des Titans.
Viastrofyria découvrit donc la surface et fut ravie de constater que cette dernière était à la hauteur de ses espérances. Certes, la lumière du jour était pour elle une vraie plaie mais il y avait bien moins d'adversaires dangereux qu'en dessous et surtout il y avait des humains de ci de là, lesquels étaient des proies faciles et succulentes. Toutefois, sa nature la forçait à tenir la promesse faite à Campé et elle se mit en chasse du jeune Zeus.
Comme l'avait dit Méthos, les Curètes, des habitants de l'ile de Crète, cachait effectivement le fils de Cronos. Viastrofyria y découvrit cependant que Zeus n'était plus un enfant sans défense mais un jeune dieu. Ce petit détail allait rendre les choses beaucoup plus compliquées que prévues. Bien qu'elle n'eut jamais affronté de dieux auparavant, Viastrofyria se douta qu'il vaudrait mieux prendre une ou deux précautions. Elle observa donc discrètement les allées et venues de Zeus et comprit qu'il nourrissait un intérêt quelque peu exagéré pour la gente féminine. En l'état, le monstre n'avait aucune chance de séduire le fils de Cronos et il allait devoir changer d'apparence et faire de son mieux se faire passer pour une des jeunes humaines que Zeus affectionnait.
Viastrofyria choisit un soir sans Lune pour approcher sa proie sous les traits d'une belle jeune femme. Elle n'avait pas l'habitude d'user de tels stratagèmes mais Zeus était à peine adulte et il manquait alors encore beaucoup d'expérience. Elle l'accosta alors qu'il rôdait près d'une habitation, à la recherche d'une conquête. Son apparence devait être convaincante car le jeune dieu la trouva à son goût et ils partirent ensemble dans les bois les plus proches. Dès le premier baiser, Zeus comprit qu'il n'avait pas affaire à une humaine mais Viastrofyria usa de son pouvoir attractif pour entretenir l'intérêt qu'il lui avait porté.
Les deux êtres magiques s'enlacèrent et celle que Zeus nommerait par la suite "la Succube", commença à absorber l'énergie de sa proie. Elle aurait pu s'y prendre par la force mais la l'étonnante vitalité du jeune dieu lui fit préférer la manière douce. Malheureusement, la victime se rendit compte du funeste destin qui allait être le sien et repoussa vigoureusement Viastrofyria avant qu'elle ne le vide de ses forces. Le monstre prit alors un aspect bien moins sympathique, révélant ses crocs et ses serres pour se jeter sur lui. Tout autre qu'un dieu eut été trop diminué pour combattre mais la succube apprit à ses dépends qu'une telle puissance ne pouvait être prise à la légère et elle se heurta à la fougue d'un adversaire tout autre que ce que son aspect humain eut pu laisser supposer.
Le combat fit rage entre les deux protagonistes et les serres du monstre faillirent plus d'une fois plonger dans les chairs du futur maître de l'Olympe mais celui-ci était tout simplement trop puissant pour perdre. Malgré la férocité et l'expérience qui jouait en sa faveur, Viastrofyria perdit du terrain contre l'endurance quasi illimité de Zeus, lequel se montra aussi infatigable que apte à lancer des attaques magiques capables de sérieusement blesser la succube. Cette dernière finit par encaisser un coup de trop et son corps impie se désintégra subitement.
Cette défaite renvoya directement Viastrofyria dans les tréfonds du Tartare et la plongea dans une rage destructrice. Elle avait fait bien des efforts pour finalement revenir à son point de départ. A coups de griffes et de crocs, la succube se fraya un chemin jusqu'aux portes de l'Enfer, bien décidée à affronter Campé s'il le fallait. Ce dernier point ne fut pas nécessaire car à son arrivée, Viastrofyria put constater que quelqu'un avait déjà occis la gardienne du Tartare.
Zeus ; c'était Zeus en personne. Le jeune dieu était venu pour libérer ses oncles. Les Cyclopes et les Hécatonchires avaient été libérés et derrière eux, les monstres du Tartare avaient suivis. Vaistrofyria apprit alors que le fils de Cronos avait libéré ses frères et soeurs du ventre de leur père et qu'il était ensuite venus tuer Campé pour obtenir de l'aide. A la surface, la Titanomachie avait commencée : la guerre des Titans faisait rage.
Le monde se déchira pendant plusieurs siècles et Viastrofyria prit partie pour Zeus dans la lutte qui l'opposait à son père. Elle n'avait aucune affection pour le jeune dieu mais elle savait que le Roi des Titans, s'il gagnait, les renverrait, elle et les autres monstres, dans le Tartare pour l'éternité. A court terme ce fut une décision heureuse car avec toute l'aide qu'il reçut, Zeus triompha et le Roi des Titans et ses frères furent envoyés à leur tour au fond du Tartare.
La surface fut donc pour un temps plus peuplée de créatures magiques qu'elle ne l'avait jamais été et Viastrofyria ne s'en plaignit pas. Cette état de grâce ne dura pas et Zeus, comme son père avant lui, renvoya les monstres dans le Tartare dont il confia la régence à son frère Hadès. Les frères et soeurs du jeune dieu formèrent un nouveau panthéon qu'il installa sur le mont Olympe.Tout ce qui pouvait alors être perçu comme trop dangereux fut chassé de la surface dont Zeus souhaitait qu'elle fut le domaine des humains et des créatures magiques bénéfiques, ou tout au moins pas ouvertement maléfiques.
Viastrofyria observa avec rancoeur les maîtres de la surface former leur panthéon et elle vit leur progéniture devenir des dieux à leur tour sans qu'il n'y ait d'autres pour elle et pour ses semblables que le Tartare. Le festin qu'ils auraient pu faire des premiers humains ne fut pas consommé et les alliés du passé devinrent indésirables. Les dieux repoussèrent les monstres dans le Tartare et seuls quelques spécimens isolés comme les Gorgones ou les descendants des premiers Cyclopes purent s'échapper pour s'isoler sur des îles ou dans des montagnes hostiles. Viastrofyria fut de ceux là.
Les siècles passèrent et la surface devint le monde des humains, comme Zeus l'avait voulu tandis que les dieux héritèrent de l'Olympe et que les monstres restèrent dans le Tartare. Parfois un monstre réussissait à rejoindre la surface mais des héros humains, le plus souvent aidés par les dieux, les tuaient pour devenir des légendes. Viastrofyria tua quelques uns de ces "parvenus" qu'elle jugeait n'être que des "favoris" des dieux et elle apprit à se fondre parmi les mortels. Depuis ces tristes jours, la succube suit pas à pas les civilisations humaines dans l'espoir de trouver le moyen de rendre à ses semblables ce monde que Zeus leur a refusé.
Ces dernières années ont été le théâtre de l'apparition d'une humaine étonnante répondant au nom de Xena. Cette princesse guerrière qui évoque à Viastrofyria une amazone semble avoir une grande importance aux yeux des dieux et son destin l'a même amené à croiser le fer avec le puissant Hercule. Cet homme est le fils de Zeus et d'une mortelle et lui aussi intéresse les dieux au plus haut point. D'autres humains commencent à prendre de l'importance dans le sillage des aventures de ces deux là et cela fait maintenant trop longtemps que le monstre attend son heure. Viastrofyria compte bien sortir de sa tanière pour suivre les destins prometteurs de ces mortels qui passionnent les dieux. A ce qu'elle en a entendu, des bardes suivent même pas à pas leur évolution ; la succube va devoir surveiller ça de plus près : là où il y a des bardes, la faveur des dieux n'est pas loin... et les monstres non plus.
Armes : Viastrofyria n'utilise que rarement des armes pour autant, étant donnée sa force, des objets usuels deviennent dangereux entre ses griffes et il lui arrive de se servir de projectiles inhabituels (rochers, table et autres choses pesantes).
Objet(s) particulier(s) :Signe(s) particulier(s) : Viastrofyria n'est pas un être vivant à part entière mais une construction magique et en tant que telle elle ne respire pas et n'a pas de pouls ; ce qui peut-être remarqué par toute personne attentive amenée à la côtoyer de près.
Viastrofyria est bien plus lourde que ne le laisse supposer son apparence ; son poids dépasse le quart de tonne et même si elle se déplace tout à fait normalement, les planchers et autres mobiliers humains "fragiles" peuvent trahir cette masse inhabituelle... sans parler de la surprise qu'aurait quelqu'un qui essaierait de la soulever ou de la pousser.
Animal qui vous accompagnent : (pas obligatoire si vous n'en avez pas)HORS RPG :Comment avez-vous connu le forum : c'est beau
Comment trouvez vous le forum : par un topsite
Prénom :
Âge : 35 ans
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Viastrofyria